J'aime imaginer que ce sont des pommes que l'on ne trouve plus dans le commerce. Des pommes qui ont perdu leur nom mais qui sauront rappeler, dès que l'on approche son nez, ce qu'elles ont été. Comme en 1994, à la source de la Lys, quand j'ai mangé pour la dernière fois une pomme qui a mérité de porter son nom. A une époque où les fruits sont devenus particulièrement dégueulasse, en trouve-on encore de "vrais" ?
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J'aime imaginer que ce sont des pommes que l'on ne trouve plus dans le commerce. Des pommes qui ont perdu leur nom mais qui sauront rappeler, dès que l'on approche son nez, ce qu'elles ont été. Comme en 1994, à la source de la Lys, quand j'ai mangé pour la dernière fois une pomme qui a mérité de porter son nom.
A une époque où les fruits sont devenus particulièrement dégueulasse, en trouve-on encore de "vrais" ?
Elles sentent. On peut en approcher son nez. Elles sentent. Et puis la récolte, c'est aussi être ensemble.
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