vendredi 30 septembre 2011

La bonne blague du jour

Bonjour, messieurs dames.

J'avais une connexion provisoire via une clé qui m'était prêtée, en attendant que mon fournisseur d'accès internet répare ses conneries.

Sauf que la clé vient de prêt, provisoire, en attendant la fin de la panne, vient de tomber en panne.

Le plan B ayant échoué, il me reste à vous avertir que le blog entre de nouveau, j'espère seulement pour quelques jours...

Voilà!

NB. Je vais tenter de mettre en oeuvre des sortes de solutions, mais je ne compte pas trop dessus...

jeudi 29 septembre 2011

Entre Crosne et Vayringe








Dans mon nouveau quartier, à Nancy, entre Crosne et Vayringe...

(septembre 2011)

Le Vampire de Phalsbourg




Non, pas de serial killer: juste un avion, sur la piste de Phalsbourg-Bourscheid!

mercredi 28 septembre 2011

J'habite à la gare








Et à côté de la gare de Nancy, y'a ce grand immeuble qui habite à la gare.

(septembre 2011)

mardi 27 septembre 2011

Mirecourt: A380, Churros et tour de contrôle...




(Septembre 2011)

Le nez en l'air autour de la gare de Nancy






(Septembre 2011)

lundi 26 septembre 2011

Mirecourt, avant l'envol




Juvaincourt, à côté de Mirecourt, dans les Vosges. Les yeux rivés sur les pistes de l'aéroport d'Epinal-Mirecourt.

(photos de septembre 2011)

dimanche 25 septembre 2011

Liverdun, entre Lerebourg et Materne -pour en finir








Quelques images, peu avant le départ. Cette humidité qui suintait de partout donnait au bâtiment, avec la végétation reprenant lentement ses droits, quelque chose d'un temple tropical perdue dans la jungle improbable d'un film d'aventures. Lerebourg, j'espère y retourner et pouvoir vous en donner des nouvelles. A bientôt la confiturerie!

samedi 24 septembre 2011

Liverdun, entre Lerebourg et Materne -11-






Après dix ans de baragouinages officiels autour de l'usine, il semblerait qu'un projet de logements sociaux se présente enfin, je le sais depuis peu. Dans ce laps de temps, l'usine a été pillée, dégradée, vandalisée, des fresques ont disparu, plus une vitre n'est debout. Un état qui me rend triste, tant Lerebourg n'avait pas mérité ça... néanmoins, on y trouve encore un peu de vie, dont une exposition éphémère fondée sur des photos du centre Spillmann, lui aussi en proie à la destruction lente et au pillage en règle. Mais bientôt, très bientôt à présent, il va falloir quitter les lieux.

vendredi 23 septembre 2011

Liverdun, entre Lerebourg et Materne -10-






En redescendant des greniers, on se trouve un perdu. Voilà, on a fait le tour de la plupart des bâtiments, et on sait qu'on ne va plus tarder à partir, à quitter les murs de l'usine Lerebourg, et c'est dommage, car comme dit plus haut, on s'y sent bien. On y passerait bien quelques jours...

jeudi 22 septembre 2011

Liverdun, entre Materne et Lerebourg -9-








La confiturerie/conserverie de Liverdun, toujours dans les greniers. Si ces derniers sont un endroit très agréable, l'escalier y menant, en particulier sur la dernière photo, est très "lovecraftien". Est-ce un compliment? Pour sûr!

Liverdun, entre Lerebourg et Materne -8-








Quelques images prises dans les greniers de l'usine, qui sont en haut d'une sorte de tour, sur deux étages. Tant l'escalier qui y mène que les pièces sont sympathiques, ouverts, clarteux, même par ce jour de pluie. On y domine l'ensemble du site, et l'eau qui dégringole de partout prend ici la tonalité d'un gai ruisseau. Eh bien, ces greniers, quel plaisir!

mercredi 21 septembre 2011

Liverdun, entre Lerebourg et Materne -7-


Et hop, on reprend la série. Avec une connexion branlante provisoire suite à prêt de matériel pas très performant, "le temps que votre problème de connexion soit résolu". Déjà, note que le service technique est injoignable suite à un incident. Depuis trois jours. Alors forcément, c'est à lui qu'il faudrait prêter du matériel. M'enfin, ça a le droit d'être chaotique et inefficace, vu que c'est pas du Service public, qui lui se doit d'être irréprochable et provoque l'ire du consommateur microtrottoirisé dans son bon droit dès que, pour exemple, la SNCF pète de travers. Ah! A l'époque de Lerebourg, on râlait sur les fonctionnaires des PTT, mais au moins on avait le téléphone, et les pannes ne duraient pas bien longtemps. Bref, Lerebourg, septième.

Ce que j’en ai vu, c’est au petit matin ce site qui depuis gosse me fascine. Qui me fait envie. Bien sûr des confiottes que j’ai mangé. Et surtout, un abandon à la fois très beau et très révoltant. Rien n’est jamais tout blanc ou tout noir, y compris dans mon cerveau. A la fois une belle friche, grande, spacieuse, aux recoins nombreux, dont la visite est un régal. Mais en même temps un lieu d’un vide parfois pesant, qui dégouline et souffre, hanté qu’il est via mon imagination par toutes ces figures vivantes vues sur les photos de l’époque d’activité présentées par les Amis de Liverdun.

On y entre facilement, pas tout-à-fait comme dans un moulin, mais presque. La grande halle est immédiatement saisissante, et en montant aux étages, on rencontre des salles magnifiques, avec un système de coursives qui longent ces salles sous les verrières et plongent jusqu’au rez-de-chaussée de la grande halle. Au bout de celle-ci, la proue du « Bateau » est dévastée, on a une pensée pour le bâtiment magnifique qui se tenait là, en tête, face à la Moselle.

Les trains passent dans le matin humide et frais de cet été lorrain, et quand il pleut soudain, tous les locaux se mettent à bruisser. Phénomène étonnant dans cette grande ruine, si son vide est parfois vertigineux, on s’y sent aussi rapidement à l’aise, elle a des côtés très amicaux, en particulier à l’étage de la halle et dans les greniers Bichaton.

Il m’avait été dit que les grapheurs avaient fait un beau travail. Certes, il y a beaucoup de choses à voir, mais j’ai été un peu déçu de ce côté-là, j’ai trouvé qu’à une ou deux exceptions près il n’y avait rien de particulièrement marquant. Encore n’ai-je sûrement pas tout vu.




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