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Outlandish Hats: Frances Farmer
Il y a 17 heures
mercredi 16 novembre 2011
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2 commentaires:
Monsieur Jones,
Vous qui savez si joliment ressentir la mélancolie des lieux abandonnés, pourquoi ces différences de traitement entre Lerebourg ("un roman de Lovecraft"), Spillman ("sous le soleil") et St Jo' ("dévastation") ?
L'humeur, le contexte et un peu moins mais quand même les faits.
Dévastation à Saint-Jo pour le malaise de ces bâtiments toujours pleins, habités d'objets, de choses, sans vie pourtant, et cet acharnement à la destruction.
Lerebourg: Je ne peux pas expliquer. Sûrement un souvenir de lecture très inconscient, et même recomposé. Mais ces fenêtres m'évoquent un roman de Lovecraft que je ne peux pas identifier.
Spillmann? Sous le soleil, je ne l'ai pas décidé, mis c'était cette fois-ci. Ma première visite fut sous la grisaille hivernale, un lieu sombre, sinistre et très oppressant. Un brin de soleil, et une compagnie moins perméable à ces ambiances, et plus rêveuse, et ça devient un lieu bucolique. Une autre fois avec des camarades espiègles, et c'est un terrain de jeu. Je n'y ai jamais été par temps de pluie. Faudra y penser. Spillmann est particulièrement malléable, je trouve.
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