Moi, j'étais môme dans le bas de Villers. D'où l'intérêt de monter voir un peu au village que je connais mal.
Le problème, c'est que j'ai été happé en chemin par des sentes latérales, genre sentier de la Platelle ou sentier de Hardeval...
J'ai donc terminé dans le chouette fond de Hardeval, lieu surprenant aux marges de la ville, où coule le ruisseau de l'Asnée, traversant en contrebas le parc du Grand séminaire, avant de disparaître sous le béton.
Le remontant sur quelques mètres, je fus de plus en plus surpris par son aspect, et il vira bientôt au charmant...
...mais sur quelques mètres. Relique rurale sur une trop courte distance d'un ruisseau arrosant un joli vallon.
Pourtant, si on relève la tête une seconde, EDF-distribution scie les yeux
Alors, le fond de Hardeval, relique? Plutôt lambeau... joli lambeau...
D'où l'on replonge lentement dans Nancy, l'heure tourne.
Les murs réapparaissent et la ville rôde.
De plus en plus près...
Pourtant, si on relève la tête une seconde, EDF-distribution scie les yeux
Alors, le fond de Hardeval, relique? Plutôt lambeau... joli lambeau...
D'où l'on replonge lentement dans Nancy, l'heure tourne.
Les murs réapparaissent et la ville rôde.
De plus en plus près...
2 commentaires:
L'Asnée, le Nabécor... Il y en a d'autres, et puis le grand vide sous la place Stan. Il y aurait beaucoup à écrire sur le sous-sol nancéien. Bonne continuation, Pop9.
Merci!
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