Passage par Strasbourg dans les derniers jours de Décembre. Je franchis les frontières de la Lorraine, qui ne veulent rien dire, et je pousse un peu plus loin dans l'Est hexagonal...
Elle est assez sinistre et engoncée de brouillard pour dilluer son formalisme dans un imaginaire bien agréable, à fabriquer soi-même.
La gare, comme souvent, m'est un sujet de photographie privilégié, mais j'ai bien entendu évité de prendre en images sa nouvelle façade: les architectes qui ont placé cette verrière devant la façade d'origine de la gare de Strasbourg doivent être traqués jusqu'au dernier et exterminés. A moins que l'on ne décide d'honorer leur goût pour l'absurde, l'inutile et le laid, qui du coup, confine au génie...
M'enfin, cette histoire se termine sur quelques frimas assez étonnants. L'hiver en Lorraine, l'hiver dans l'Est, c'est tout de même diablement joli.
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