Derrière chez moi, les canards pullulent, les rats aussi. Ceux à plumes, ils s'installent en bandes compactes sur les bords et regardent passer les humains avec un air circonspect, qui sied à tout canard bien élevé.
Derrière chez moi aussi, le matin, vers septembre, c'est brumeux joli, c'est lever du soleil engourdi dans un écrin opaque (comment ça "écrin" ça fait cul-cul?).
Et puis même en plein centre-ville, à trente secondes de la gare, y'a des havres de paix qui subsistent, toujours joliment éclairés...
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