Il a fallu se lever tôt, mais le deal a été respecté. Monter dans l'aube froide, humide mais qui fait du bien partout, en haut des chaumes, et arriver, sur les coups de six heures du matin, au sommet du Kastelberg, c'est quand même quelque chose...




Ce pied absolu d'être tout seul là-haut, de ne plus bouger, et de regarder ce qui se passe. Et il s'en passe, mine de rien, des choses.
Le dernier sommet est vachement contemporain dans son genre....
(là je vais faire une pause sur les Vosges, sinon je vais me noyer dedans...)